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Photo : Inconnu (Canva)
Vieillir tout en continuant de s’épanouir socialement : est-ce un mirage ou une réalité à portée de main pour les ainé·e·s gais et lesbiennes?
Si toutes ces cultures s’accordent sur l’importance du don de soi, chacune vit une expérience unique de la maladie.
Si la venue au monde d’un enfant représente un chamboulement pour les parents, c’est aussi vrai pour les grands-parents, qui doivent trouver leur juste place au sein de la famille qui s'agrandit.
Si les difficultés économiques entre les générations se ressemblent, les stratégies des personnes de 65 ans et plus pour les surmonter sont différentes… et plus limitées.
Qui ne s’est jamais inquiété pour son enfant? Un sentiment familier pour plusieurs parents, mais qui prend une couleur différente pour ceux élevant un enfant adulte vivant avec une DI.
Du diagnostic jusqu’au décès et même après, les proches d'une personne en fin de vie font face à de nombreuses questions sur l’existence.
Le manque d’information sur la maladie fait en sorte qu’elle est encore largement stigmatisée au sein de la communauté haïtienne.
Faire leur coming out : c’est le premier défi auquel sont confrontées les femmes âgées lesbiennes au décès de leur conjointe.
Crédit : Damir Bosnjak
Si certaines se dévouent corps et âme dans ce rôle, d’autres sont plus réticentes à le faire. En fait, elles adoptent généralement une posture dite « assumée », « résignée » ou « subie ».
Un élément central à la participation sociale des personnes aînées atteintes d’alzheimer ? L’engagement des personnes aidantes, bien sûr !
Crédit photo : Phillip Goldsberry
Pas toujours facile de se rencontrer entre jeunes et vieux, surtout en région rurale où les échanges sont plus limités!
Si les congés de maladie et les congés parentaux sont bien connus des employeurs, une ligne de conduite claire fait défaut pour les proches aidants.
De nombreux aînés LGBT en résidence évitent de dévoiler leur orientation sexuelle ou leur identité de genre, craignant de ne pas être respectés par les intervenants ou les autres résidents.
Au Canada, près de la moitié des aidants sont de sexe masculin (46 %) et ils seraient moins nombreux que les femmes à recourir aux services de soutien qui leur sont offerts.
Si les proches aidants utilisent les services de répit, ils sont toutefois peu nombreux à recourir aux services dits « communautaires », comme les activités de détente ou les services psychosociaux.
Entre contrôle et soutien, les réponses aux besoins sexuels des résidents de CHSLD dépendent de l’ouverture d’esprit des familles, du personnel et de l’établissement.
Dans la littérature scientifique, l’isolement est souvent associé à des problèmes personnels, psychosociaux ou de santé. Toutefois, cette conception prend rarement en compte le point de vue des aînés.
Quels défis supplémentaires les immigrants réfugiés doivent-ils surmonter pour jouer le rôle d’aidant auprès d’un proche?
Rares sont les nouvelles générations qui cohabitent avec leurs aînés. Ceux qui en ont les moyens déménagent plutôt dans des résidences privées...
Avec les avancées médicales et le vieillissement des boomers, la proportion d’aînés a triplé : une personne sur six, au Québec, est âgée de 65 ans et plus!