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Confinement, isolement, masques : les enfants et les ados ont dû faire preuve d’une bonne dose de résilience pour faire face à cette nouvelle réalité. Quel rôle a joué la famille dans leur adaptation?
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Le choix des prénoms n’est que la pointe de l’iceberg : l’apprentissage des langues est aussi, sinon plus, crucial dans le processus de transmission identitaire.
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La transformation du rôle du grand-père fait écho à l’évolution de la paternité ces dernières années au Québec. Comment les grands-pères vivent-ils leur grand-parentalité?
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Devenir parent n’est déjà pas évident. Pour certain·e·s jeunes en situation d’itinérance, le saut dans la parentalité s’accompagne d’épreuves et d’angoisses supplémentaires.
Être en couple quelques années avant de former une famille : une occasion à laquelle les belles-mères n’ont pas accès. Elles entrent directement dans une famille établie.
Si toutes ces cultures s’accordent sur l’importance du don de soi, chacune vit une expérience unique de la maladie.
Si la venue au monde d’un enfant représente un chamboulement pour les parents, c’est aussi vrai pour les grands-parents, qui doivent trouver leur juste place au sein de la famille qui s'agrandit.
Environ 3 % de la population vivra un jour ou l’autre une psychose, généralement entre l’âge de 18 et 35 ans.
Les blessures émotionnelles ne sont que la pointe de l’iceberg de traumatismes complexes, mais leurs conséquences sont réelles et peuvent être à l’origine de troubles de la personnalité.
Qui ne s’est jamais inquiété pour son enfant? Un sentiment familier pour plusieurs parents, mais qui prend une couleur différente pour ceux élevant un enfant adulte vivant avec une DI.
La montée en popularité des réseaux sociaux soulève la question : serons-nous un jour envahis par la technologie, au point d’en oublier ce que nous partagent nos proches?
L'exposition à la violence conjugale teinte de façon beaucoup plus importante le lien entre un enfant et ses parents, mais peut aussi influencer les relations amicales, fraternelles et conjugales.
Si elles n’ont pas nécessairement « moins de valeur » que les autres, les familles recomposées sont tout de même le mouton noir des familles.
Si certains jeunes trans et non binaires bénéficient d’un soutien parental fort, d’autres se heurtent au rejet de leurs parents à la suite de leur coming out.
S’il est clair pour la majorité des participants que leur rôle se limite à celui de donneur, ils ne sont pas pour autant indifférents aux enfants nés de leurs dons.
La transition de l’après-parents suscite beaucoup d’émotions chez les pères, qui sont généralement peu préparés face à ce changement.
Très tôt, la façon d’élever son enfant influence son parcours aussi bien émotif que sexuel. Comment ? C’est là que les conflits et les pratiques parentales entrent en jeu.
Le manque d’information sur la maladie fait en sorte qu’elle est encore largement stigmatisée au sein de la communauté haïtienne.
Incompréhension, jugement et absence de soutien de la part des parents : c’est ce que traversent bien des jeunes adultes non binaires à la suite de leur coming out.
Le processus migratoire, leur expérience de déqualification et l’adaptation aux pratiques et valeurs de la province façonnent le regard qu’ont les parents récemment immigrés de l’école québécoise.