Quelques repères sur la région
Ville, MRC et région administrative : voilà trois façons de définir Laval aujourd’hui. Son histoire est intimement liée à celle de la Ville de Montréal, car Laval connaît un développement important à partir des années 1960, avec la création des banlieues. Cela dit, elle est bien plus qu’une simple banlieue. Alors qu’elle était entièrement rurale, Laval devient un pôle de développement économique entre Montréal et les Laurentides entre les années 1960 et 1990. En 1965, avec le regroupement de 14 municipalités, la Ville de Laval est créée. Ayant bénéficié de l’exode de plusieurs familles montréalaises depuis de nombreuses années, Laval est, en 2020, l’une des plus grandes villes du Québec.
Portrait de population
Explosion démographique
Laval connaît depuis plusieurs décennies une explosion démographique… et la tendance n’est pas à l’essoufflement ! Elle est la troisième plus grande ville au Québec, et continue de connaître un rythme de croissance démographique rapide. En effet, c’est 5,2 % de la population de la province qui y réside.
De plus, les prévisions montrent qu’elle croîtra de 30,7 % entre 2011 et 2036, ce qui en fait la plus grande hausse sur l’ensemble du Québec, avec Lanaudière (30,6 %).
Entre 1961 et 2011, Laval a presque quadruplé de population. En outre, alors qu’elle était de 124 741 en 2011, la population atteint 401 553 en 2011.
Plus jeune que l’ensemble du Québec
La population de Laval est plus jeune que celle de l’ensemble du Québec. En effet, en 2018, l’âge médian de la région est de 42,3 ans, alors que celui du Québec est de 42,5 ans. La part des moins de 20 ans y est de 22,5 %, alors que celle des 65 ans et plus est de 17,4 %. En comparaison, dans l’ensemble du Québec, 20,8 % de la population a moins de 20 ans, alors que 18,8 % a 65 ans et plus.
… Et plus scolarisée
Laval figure parmi les régions les plus scolarisées du Québec. En 2018, après Montréal (50,6 %) et la Capitale-Nationale (37,5 %), elle présente la plus importante proportion de diplômés universitaires (31,1 % vs 9,9 % sans aucun diplôme). À l’échelle du Québec, 32,8 % de la population de 25 à 64 ans possède un diplôme universitaire, et 11,3 % ne détient aucun diplôme.
Portrait des familles
Laval, amie des familles
La Ville de Laval est populaire auprès des familles avec enfants. Entre 2006 et 2016, leur nombre connaît une croissance de 13,8 %, soit la plus importante au Québec. À l’échelle de la province, cette hausse est plutôt de l’ordre de 1,6 %.
Mais des familles plus si jeunes
Cela dit, les « jeunes familles », formées d’au moins un parent âgé de moins de 35 ans, sont de plus en plus rares. En 2016, Laval présente la plus faible proportion de jeunes familles au Québec (15,8 %). Au Québec en 2016, 22,4 % des familles sont considérées comme de jeunes familles. De plus, la région de Laval connaît la plus importante baisse de jeunes familles de la province entre 2006 et 2016. Alors que la proportion de familles dont le plus jeune parent a moins de 35 ans connaît un léger recul dans l’ensemble de la province (-1,4 %), elle chute de 4,1 % à Laval.
Monoparentalité moins présente, mais principalement féminine
Les familles monoparentales ne sont pas légion à Laval. En 2016, la région est, après Chaudière-Appalaches (25,1 %), celle qui compte le moins de familles monoparentales au Québec (26,1 %). En comparaison, dans l’ensemble de la province, près de trois familles sur dix sont monoparentales (29,5 %).
Cela dit, la part de familles monoparentales dirigées par une mère est la deuxième en importance au Québec. Laval (78,2 %), et Montréal (81,7 %), sont d’ailleurs les seules régions qui présentent une proportion de mères seules plus élevée que la moyenne québécoise (75,3 %).
L’union libre boudé?
Des unions plus traditionnelles à Laval ? C’est ce que laisse penser le nombre de familles biparentales de la ville. Celles qui vivent en union libre représentent 23 % des familles. C’est la plus faible observée après Montréal (20,8 %). À l’échelle du Québec, la proportion est de 42,7 % en 2016.
Conditions de vie
Taux de faible revenu similaire
La proportion de familles à faible revenu est près de la moyenne québécoise : 9,2 %, contre 9,5 %. En comparaison, la région de Montréal affiche l’un des taux les plus élevés de la province avec 16,2 %.
Favorisée matériellement et socialement
La défavorisation matérielle et sociale touche moins la population lavalloise que l’ensemble du Québec. À des fins d’illustration, 15 % de la population est considérée très défavorisée sur le plan matériel. Les niveaux de revenu, d’activité sur le marché du travail et de scolarité, qui surpassent ceux de l’ensemble du Québec, pourraient en partie expliquer ces résultats. Sur le plan social, 13 % de la population est considérée comme très désavantagée. La faible proportion de personnes qui y vivent seules contribuerait à expliquer la faible défavorisation sociale.
Laval et la recherche
La région de Laval se situe non loin de nombreuses universités. L’Université de Montréal (UdeM), l’Université du Québec à Montréal (UQAM), l’Université McGill, l’Université Concordia, le campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke, et le campus de Saint-Jérôme de l’Université du Québec en Outaouais, offrent des possibilités d’études supérieures. De plus, l’UdeM et l’UQAM ont toutes deux un campus sur le territoire lavallois. Cela dit, malgré cette offre importante, les recherches sur les réalités familiales et conjugales spécifiques à la région se limitent, généralement, à quelques mémoires de maîtrise ou thèses de doctorat. Les études abordent, entre autres, les déplacements domicile-travail, les conditions de vie banlieue-ville, les diagnostics du trouble du spectre de l’autisme et les relations parent-enfant.
En revanche, la Direction de la santé publique du Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval publie de nombreux rapports sur l’état de santé de sa population, à partir des résultats des Enquêtes gouvernementales sur la santé des jeunes du secondaire, et du parcours préscolaire des enfants de maternelle.
Le TSA dans les familles lavalloises
Les premières manifestations du trouble du spectre de l’autisme (TSA) s’observent souvent chez les tout-petits. Deux études se penchent sur les cas diagnostiqués de TSA à Laval durant l’enfance et l’adolescence.
Le rapport de la Direction de santé publique du Centre intégré en santé et services sociaux de Laval (2018) fait le portrait des diagnostics de TSA à Laval dans la population de 1 à 24 ans, en comparaison avec l’ensemble du Québec. Quels services sont mis en place par la Ville pour soutenir les enfants et les jeunes qui ont un TSA ? Sont-ils suffisants et adéquats ?
Pour répondre à ces questions, le Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement de Laval (CRDITED) utilise un programme, le Modèle intégré d’intervention (MII), pour soutenir les interventions comportementales intensives auprès des enfants qui ont un TSA. Ce modèle cible le développement de la communication sociale, la régulation des émotions, ainsi que les capacités cognitives et d’apprentissage. Le MII comprend 11 heures d’interventions en installation, des interventions hebdomadaires au domicile ou en milieu de garde, ainsi que du soutien aux parents. Montembeault et ses collègues (2013) évaluent son efficacité auprès de 40 enfants de 2 à 5 ans qui présentent un TSA. Tous résident dans la Ville de Laval, et sont nouvellement inscrits à l’automne 2007, 2008 et 2009 à l’Étincelle, service du CRDITED où le MII est appliqué. Les auteurs constatent une amélioration de la communication, de l’autonomie dans la vie quotidienne et de la socialisation des enfants lors de leur suivi de six mois après le début du programme, mais peu d’améliorations significatives de la communication sociale et de la gestion des émotions lors du suivi fait au 18e mois.
Relations parent-enfant
Quels sont les ressources et les services qui favorisent le développement de l’attachement parent-enfant ? Navarro (2017) se penche sur les effets du programme Circle of Security Parenting (COS) appliqué à des mères d’enfants d’âge préscolaire qui reçoivent des services de première ligne (soins infirmiers, services médicaux généraux, services d’aide psychologique ou sociale, par exemple) du CISSS de Laval. Le COS vise à augmenter les capacités du parent à faire preuve de sensibilité à l’égard des besoins de son enfant, en lui offrant un refuge et un environnement sécuritaire. L’auteure remarque une diminution significative des sentiments négatifs des mères. Cela dit, elle note également une absence d’évolution significative quant aux problèmes émotionnels et comportementaux des enfants. Finalement, elle constate que les expériences traumatiques passées, le soutien reçu par l’entourage et les caractéristiques socioéconomiques du parent influencent l’efficacité du programme.
Le développement de l’enfant
À partir de l’âge scolaire, les enfants s’engagent dans un nombre croissant d’activités extrafamiliales qui influencent leur développement. Ces activités organisées notamment dans des clubs ou associations ont souvent des effets bénéfiques. Aumètre (2017) s’intéresse d’une part, à la manière dont le nombre d’activités et la fréquence de participation évoluent durant l’âge scolaire. D’autre part, elle cherche à comprendre comment ces mêmes critères peuvent influer sur l’adaptation comportementale et scolaire des enfants, entre la maternelle et la 4e année. Son échantillon initial comprend 1038 enfants recrutés dans 250 classes de maternelle, sur le territoire de la Ville de Laval. Elle suggère que les enfants qui cumulent certains facteurs de risque, tels qu’un faible revenu familial ou niveau de scolarité des parents, ont de plus fortes probabilités de ne pas participer à ces activités. De plus, l’auteure remarque que les enfants qui participent à une plus grande diversité d’activités entre la maternelle et la 4e année sont moins portés à adopter des comportements comme le retrait, l’inhibition et la crainte.
L’adolescence et l’entrée dans l’âge adulte
De plus en plus de personnes immigrantes s’installent à Laval et dans d’autres villes de la Rive-Nord de Montréal à leur arrivée dans la province. Quelles sont plus particulièrement les réalités de la population adolescente nouvellement arrivée à Laval ? Rachita (2015) se penche sur les facteurs de persévérance et de réussite scolaire des jeunes de 16 à 24 ans issus de l’immigration récente dans un programme anglophone de Formation générale des adultes. Les participants à cette recherche proviennent d’un centre d’éducation des adultes de Laval, le seul à desservir la communauté anglophone de la Rive Nord de Montréal. L’étudiante-chercheuse conclut que la résilience et la motivation soutenue sont notamment présentes chez les jeunes interrogés.
Jeunes familles et opposition ville/banlieue
La région métropolitaine de Montréal prend de l’expansion. Mobilité généralisée, étalement urbain, déclin démographique arrondissements centraux, départ continu des ménages vers les banlieues : voilà des enjeux qui affectent particulièrement la région de Laval, dont le développement a été et est toujours, très influencé par celui de Montréal.
Dans un contexte de mobilité résidentielle, pourquoi les jeunes familles de classes moyennes de la région métropolitaine montréalaise choisissent-elles de s’installer dans la ville centre, les quartiers péricentraux, ou alors la banlieue ? De plus, quelle place leur quartier occupe-t-il dans leur vie quotidienne ? Voici les questions qu’aborde Jean (2014a, 2014b). Elle compare, entre autres, les représentations qu’ont les familles de Vimont-Auteuil, un quartier de la banlieue lavalloise, à celles d’Ahuntsic, un quartier péricentral de Montréal, et met en lumière la manière dont ces familles revendiquent leur attachement à leur quartier, ainsi que les pratiques locales qu’elles y déploient. Qu’est-ce qui distingue ces familles « citadines » d’Ahuntsic, des « banlieusardes » de Vimont-Auteuil ? Elles auraient des représentations différentes de la ville et de la banlieue, des usages du quartier et du chez-soi, de leur mobilité quotidienne, de leur identité, ainsi que des modes de vie auxquels elles sont associées. La chercheuse conclut en rappelant l’importance d’aménager des milieux de vie ouverts aux familles qui concordent avec leurs représentations et leurs pratiques au sein des quartiers. Elle maintient en effet que ces derniers occupent une place centrale dans la vie quotidienne des jeunes familles de classe moyenne.
Les publications de la Direction de santé publique du CISSS de Laval
La Direction de santé publique du Centre intégré en santé et services sociaux (CISSS) de Laval publie des rapports qui diffusent et vulgarisent les résultats des différentes Enquêtes de l’Institut de la statistique du Québec sur l’état de santé de la population.
Laval et la santé de ses jeunes du secondaire
Le ministère de la Santé et des Services sociaux a mandaté l’Institut de la statistique du Québec pour la réalisation de la deuxième Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS) en 2016-2017. Cette enquête brosse un portrait de l’état de santé physique, mentale et psychosociale, ainsi que des habitudes de vie des élèves du secondaire. À Laval, 3 691 élèves de 16 écoles participent à l’étude.
La Direction de santé publique du CISSS de Laval publie deux rapports sur les principaux résultats de l’EQSJS. Selon le premier, qui traite des différences sexuées, les garçons du secondaire sont plus enclins que les filles à présenter un surplus de poids, consommer du tabac, à faire usage de drogue, à avoir un diagnostic de trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, ainsi qu’à présenter un risque de décrochage scolaire. Les filles, pour leur part, ont davantage tendance à vouloir perdre du poids, à avoir un diagnostic médical d’anxiété, de dépression ou de trouble de l’alimentation, à manifester une faible estime de soi, et à avoir subi de la violence dans leurs relations amoureuses.
Le deuxième rapport compare les résultats, avec ceux obtenus lors de la dernière Enquête, en 2010-2011. La consommation de cigarette, d’alcool et de drogues aurait diminué. En revanche, l’Institut observe une augmentation importante d’élèves qui ont un niveau élevé de détresse psychologique et une faible estime de soi. Toujours en santé mentale, des techniques éprouvées permettent de mieux diagnostiquer l’anxiété et le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) qu’en 2010-2011.
Laval et l’Enquête québécoise sur le parcours préscolaire des enfants de maternelle (EQPEMM)
L’objectif de l’EQPPEM, menée par l’Institut de la statistique du Québec, est de recueillir de l’information sur la famille, sur l’enfant et sur son parcours préscolaire. Le rapport de la Direction de santé publique du CISSS de Laval fait état des principaux résultats concernant l’environnement familial, les pratiques parentales, le temps passé à la maison par les parents après la naissance de l’enfant, et les caractéristiques du parcours préscolaire des enfants à la maternelle.
Selon les données de l’Enquête, Laval affiche une proportion d’enfants considérés comme vulnérables plus élevée que le reste du Québec, dans le domaine de la santé physique. Ces résultats s’observent aussi au chapitre des habiletés de communication et les connaissances générales. Cela dit, la région de Laval est similaire à l’ensemble du Québec en ce qui a trait aux domaines des compétences sociales, de la maturité émotionnelle et du développement cognitif et du langage de ses jeunes.
Laval, voir au-delà de la banlieue blanche de classe moyenne
Ville, région et banlieue : Laval est multiple. Elle ne correspond pas, ou plus, au stéréotype de la banlieue nord-américaine homogène blanche de classe moyenne. Un grand nombre de nouveaux arrivants choisissent de vivre en banlieue de Montréal, notamment dans la Ville de Laval (Turcotte et Vézina, 2010). Le nombre croissant de familles qui s’y installent démontre la grande place de ces dernières dans le développement de la vie et de la collectivité. Ainsi, quelles sont les réalités de ces familles ? Les études sociologiques et les analyses des politiques publiques à destination des personnes immigrantes sont encore trop peu nombreuses pour avoir un portrait juste de la situation.
Dans les dernières années, Laval s’est dotée d’une politique municipale en gestion de la diversité ethnoculturelle, Ensemble à Laval, qui a fait l’objet de quelques analyses et critiques (Fourot, 2011 et 2013 ; Germain et al. 2003 ; Dostie 2012 ; Roy, 2015). Plus récemment, elle a adopté un Plan d’action régional (2017-2019) sur l’immigration, la diversité culturelle et l’inclusion. Dans le contexte lavallois actuel, de plus en plus hétérogène, de plus amples recherches universitaires sont nécessaires, tant pour caractériser l’immigration et la diversité ethnoculturelle, que pour favoriser l’inclusion de la population nouvellement arrivée.
Bibliographie par section
Quelques repères pour la région
Saint-Pierre, J. (2011). Laval. Québec, Presses de l’Université Laval.
Portrait de la population
Institut de la statistique du Québec. (2019). Bulletin statistique régional de Laval.
Institut de la statistique du Québec. (2014). Évolution démographique des 10 principales villes du Québec (sur la base de 2011) selon leur limites territoriales actuelles, Recensements du Canada de 1871 à 2011.
Institut de la statistique du Québec. (2014). Perspectives démographiques des MRC du Québec, 2011-2036.
Binette Charbonneau, A. et al. (2019). «La population des régions administratives, des MRC et des municipalités du Québec en 2018», Coup d’œil sociodémographique, no 69.
Portrait des familles
Ministère de la Famille. (2018). «Coup d’œil régional sur les familles. Les régions administratives et les MRC du Québec qui se distinguent sur le plan sociodémographique en 2016». Bulletin Quelle famille ?, vol. 6, no 3.
Conditions de vie
Institut de la statistique du Québec. (2019). Panorama des régions du Québec – Édition 2019.
Gravel, M.-A. ; et al. (2016). Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011 - Laval. Québec, Institut de la statistique du Québec.
Apparicio, P. et al. Institut national de recherche scientifique. (2014). Portrait socioéconomique du territoire de la région de Laval, Montréal, Institut national de recherche scientifique.
Laval et la recherche
Aumètre, F. (2017). La participation à des loisirs organisés durant l’enfance : un examen longitudinal des impacts sur le fonctionnement social et scolaire (Thèse de doctorat). Université du Québec à Montréal, Département de psychologie, Montréal (Québec).
Blais, É. (2019). Laval pour ses enfants, Laval, CISSS Laval, Direction de santé publique.
Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval. (2018). Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) à Laval : Prévalence et incidence du TSA pour la population de 1 à 24 ans. Laval, Direction de santé publique.
Dostie, M.-P. (2012). Orientations normatives et politiques et pratiques de gestion de la diversité ethnoculturelle : Perspectives comparées de trois villes de la région métropolitaine de Montréal (Mémoire de maîtrise). Université du Québec à Montréal, Département de sociologie, Montréal (Québec).
Dufour, C. (n.d). Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire 2016-2017 : Principaux résultats pour la région de Laval. Disparités entre les sexes et les niveaux de scolarité, Laval, CISSS de Laval, Direction de santé publique.
Fourot, A.-C. (2009). «Gestions du nouveau pluralisme religieux dans les villes canadiennes. Établissement de mosquées et mécanismes de personnalisation des canaux de médiation à Montréal et à Laval», Canadian Journal of Political Science, vol. 42, no 3, p. 637-655.
Fourot, A.-C. (2011). «Immigrants en banlieue et politiques publiques municipales : le cas lavallois (Québec, Canada)», Canadian Public Administration, vol. 54, no 1, p. 97-119.
Fourot, A.-C. (2013). L’intégration des immigrants : cinquante ans d’action publique locale. Montréal, Presses de l’Université de Montréal.
Jean, S. (2014). «Ville ou banlieue? : Les choix résidentiels des jeunes familles de classe moyenne dans la grande région de Montréal», Recherches sociographiques, vol. 55, no 1, p. 105‑134.
Montembeault, M. et al. (2013). Évaluation de l’efficacité du Modèle intégré d’intervention auprès des enfants de 2 à 5 ans présentant un trouble du spectre de l’autisme au CRDITED de Laval. Laval, CRDITED de Laval.
Navarro, J. (2017). Évaluation des effets du programme Circle of Security Parenting sur des mères et leur enfant d’âge préscolaire : phase de relance (Thèse de doctorat). Université de Sherbrooke, Département de psychologie, Sherbrooke (Québec).
Rachita, A. (2015). Les facteurs de persévérance et de réussite scolaire des jeunes de 16 à 24 ans issus de l’immigration récente à la Formation générale des adultes dans un contexte anglophone (Mémoire de maîtrise). Université de Montréal, Département de psychopédagogie et d’andragogie, Montréal (Québec).
Roy, H. (2015). Rapport à l’espace, rapport à l’Autre : Constructions des discours sur l’immigration dans la banlieue lavalloise (Mémoire de maîtrise). Université de Montréal, Département de sociologie, Montréal (Québec).